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Digital approach in art history, 8 décembre 2023

Expositions

Béatrice Joyeux-Prunel

Catherine Dossin, Nicolas Carboni

https://docs.lib.purdue.edu/artlas/vol12/iss1/13/

Marta Edling, Nuria Rodriguez-Ortega

Concept d’exposition et ce que le numérique peut faire.

Exhibition Studies and Digital Approaches

Nuria Rodriguez-Ortega UMA

RA

iArtHis_lab Rearte-dix, Andalex, Complexhibit

https://pathfinder.iarthislab.eu

Littérature

Artlas qui a permis changement d’échelle. exhibition catalogues in the globalization of art 2015

exhibition project, Rodriguez

Quantifying reputation and success, Failberg

Infrastructure : PathFinder, Artlass...

Quelques problèmes

  • risque de simplicatifation
  • perte de contexte riche
  • risque de généralisation
  • sous-représentation dans les jeux de données et perpétuation de stéréotypes

Exhibition, digital

exhibitium.es déployé en plusieurs projets subséquents :

OntoExhibit ontology

https://github.com/Complexhibit-Project/OntoExhibit

https://complexhibit-project.github.io/OntoExhibit/index-en.html

Formalisation pour extration de données. Formalisation du domaine culturel implique reformulation épistémologiques. Part intégrale de l’histoire de l’art.

Plusieurs aspects conceptuels soulevés lors de son développement.

Réutisation information produite par le domaine culturel des expositions.

Publication comme RDF, utiliser et publier savoir expositionnel

https://complexhibit.es/sparql

Combat conceptuel entre CIDOC CRM initialement choisi comme modèle pour l’ontologie. Encapsule des assomption qui doivent être discutées. Et le concept de l’exposition qui nous semblait nécessaire de conceptualiser.

Concept partagé du domaine de l’exposition. Et nécessité embrasser matérialiste et posthumanism modèle.

Acteurs humains et non-humaines et pratiques sociales.

Exhibition phenomenon

Social, discusrsive and cultural productions

génèrent discours

Modélisation qui voulait capter dimension sociale, etc.

Relation entre l’œuvre et la production culturelle et la manifestation.

Classe exhibition curatorial project qui a des manifestation.

Permet la représentation d’exposition itinérantes. Ou encore réitération exposition (reecnactement. Reformalisation à. travers différentes matérialisations.

Une décision épistémologique importante, comparément à Wikidata. Représente chaque exposition comme manifestation particulière. Perspective cruciale car peut impliquer reformulations.

Par ailleurs intégration de classes spécifqieus pour intégréation de pratiques discursives relatives aux expos et les contenus proposés : thèses, interprétation, etc.

Deux classes utilisées, proposition classe et propositionnal object qui embarque les aspects matériels.

Mais prpoositional object pas équivalent de celui du CRM E89 car dans CIDOC une sous-classe d’un objet conceptuel. De notre perpective, cette définition introduit des ambiguïtés. Exemple title conceptuel entité. Pourtant une expression linguistique spécifique. Pour nous toute propositionnal objet toujours une matérialisation. Formal expression.

Distinction entre choses faites pas l’homme et objets conceptuel, problématique pour nous. Besoin de classifier les choses de manière totalement différente. Pour nous les choses physiques sont sémantiques. Pour nous les objets physiques ne sont pas seulement les carrier de la sémantique. En effet leur matérialité embarque de la sémantique.

D’après le exhibit modèl, cf. Yalta.

Approche qui met l’emphase sur la physicalité des objets. Propositional Object une sous-classe de l’objet matériel. Fruitfull car permet approcher le concept d’exposition de manière plus efficace.

Expo pas souslcasse évenement mais appartient à l’objet sémantique. Idée que convoie le propositional object.

Mais comment capturer et représenter relation entre matérialité et modèle.

Discours curatorial, une proposition complexe. Organsaition narrative ou thématique.

Discours curatorial qui reçoit aussi une dimension matérielle.

Essayer de représenter comment les choses sont représentées matérialisées.

Comment rendre compte du type d’accrochage ? car vocabulaires de ce genre n’existent pas. Travaillons actuellement sur ce type de vocabulaire.

Un modèle qui propose de diversifier analyse. capturer complexité sémantique dans expo réelle exemples. Peut décrire quelle interprétations fait, etc.

Problème des acteurs. Personnes ou groupes.

Ajout de nouveaux actants pour les œuvres et technologiques.

Supprimé Human-Made Class dans l’ontologie. Reconsidération de la matérialité.

Comment modéliser temporalité.

Marta Edling

Marta Edling, témoigne de la capacité à traiter des donnés quantitatives permettent de travailler de manière nouvelle.

Do we really need digital art history : Yes comme nous avons besoin d’autres méthodologies. Ok avec Maximillien en octobre "robust methodologies"

Danger de devenir sceptique si pas engagé avec des questions compliquées.

Livres de table qui ne pointent pas des questions critiques.

Extraction de données jamais neutres. Données ne sont pas données. Eviter le cherry picking. Taste, values jugement.

Projet micro Exhibiting Art in a European Periphery ? International art in sweden during cold war. Cf. Artlas 2011

Pas une distinction, e

Explorer ce qui était en réalité présenté dans les musées nationaux.

Fouille grande quantité de donnée pas toujours vitales. Facilite décontextualisation. Mais quantitative facilite approche heuristique. Epxlorations relations certains informations.

Pas quantité mais capacité de DAH de poser de nouvelles questions ou reformuler des questions à l’égard du domaine de l’art.

Discussion

Un modèle une conceptualisation épistémique d’un domaine. Aussi savoir comment reste historien car travail quantitatif met les choses en série. L’histoire est fondamentalement diachronique. Comment penser les enjeux de tempralités.

Quantitatif qui amène des questions qualicatives.

Question sur la nature des expositions. Comme le savons, des objets politiques. Un propos pour une cause. Exposition Tolkien et droite. Nouvelle biennale polonaise. Comment représenter ces questions avec les données.

Remarques perso

Pourquoi avoir choisi FRBR au lieu de LRM ?

Qu’amène le fait d’avoir des actants du point de vue de l’exploitation des données. De même le renoncement à distinguer objet conceptuel et choses faites par l’homme apporte-t-il quelque chose alors qu’il est toujours possible de faire deux décalarations sur une même chose (monde ouvert). Au contraire, l’abandon de cette distinction n’amène-t-elle pas des problèmes pour la gestion des proprités ?