diff --git a/RR0SsgContext.ts b/RR0SsgContext.ts index 9a9fce6ccf..af74bc8d2c 100644 --- a/RR0SsgContext.ts +++ b/RR0SsgContext.ts @@ -1,8 +1,8 @@ -import {TimeContext} from "./time/TimeContext" -import {ssgMessages} from "./lang" -import {RR0Messages} from "./lang/RR0Messages" -import {DefaultLogger, HtmlSsgContext, SsgContext, SsgContextImpl, SsgFile} from "ssg-api" -import {PeopleContext} from "./people/PeopleContext" +import { TimeContext } from './time/TimeContext'; +import { ssgMessages } from './lang'; +import { RR0Messages } from './lang/RR0Messages'; +import { ConsoleLogger, HtmlSsgContext, SsgContext, SsgContextImpl, SsgFile } from 'ssg-api'; +import { PeopleContext } from './people/PeopleContext'; export interface RR0SsgContext extends SsgContext { readonly messages: RR0Messages @@ -27,7 +27,7 @@ export class RR0SsgContextImpl extends SsgContextImpl { constructor(locale: string, readonly time: TimeContext, readonly people = new PeopleContext(), currentFile: SsgFile | undefined = undefined) { - super(locale, new Map(), "RR0", new DefaultLogger("RR0"), currentFile) + super(locale, new Map(), 'RR0', new ConsoleLogger('RR0'), currentFile); this.messages = ssgMessages[locale] } diff --git a/book/BookDirectoryStep.ts b/book/BookDirectoryStep.ts index 407230bc32..61e599ad8a 100644 --- a/book/BookDirectoryStep.ts +++ b/book/BookDirectoryStep.ts @@ -120,10 +120,13 @@ export class BookDirectoryStep extends DirectoryStep { for (const startFileName of startFileNames) { const chapter = new Chapter(context, startFileName); await chapter.scan(); - context.logger.debug('toc before:', chapter.toString()); + const chapterBefore = chapter.toString(); + context.logger.debug('toc before:', chapterBefore); await chapter.update(); - context.logger.debug('toc after:', chapter.toString()); + const chapterAfter = chapter.toString(); + context.logger.debug('toc after:', chapterAfter); context.logger.log('Updated toc for', chapter.context.inputFile.name); + chapter.context.outputFile.dom; await this.outputFunc(chapter.context, chapter.context.outputFile); } } catch (e) { diff --git a/croyance/religion/theisme/mono/livre/bible/01/01/index.html b/croyance/religion/theisme/mono/livre/bible/01/01/index.html index 5002661e38..e1e4435256 100644 --- a/croyance/religion/theisme/mono/livre/bible/01/01/index.html +++ b/croyance/religion/theisme/mono/livre/bible/01/01/index.html @@ -1,6 +1,5 @@
Ses portions législatives constituent une partie de la Sharia.
+Une chronologie permettant de prendre la mesure de l'activité, de leur recul dans le temps, de leurs lieux à travers le monde, contexte ou de leurs liens.
-Comme pour tout code, il devient important de pouvoir réaliser des tests automatisés lorsque celui-ci devient conséquent. Globalement, deux approches sont proposées : tester indépendamment du navigateur (léger mais généraliste) versus tester dans le navigateur (lourd mais précis). A moins de disposer d'un code généraliste (ce @@ -423,106 +486,130 @@
---<html> <head><title>
Detecteur JavaScript pour - navigateur</title> <script language="JavaScript"> ver = 10; </script> <script - language="JavaScript1.1"> ver = 11; </script> <script language="JavaScript1.2"> ver = 12; </script> - <script language="JavaScript"> function nextPage() { // Si le navigateur est de type 4.0 on utilise - latestver.html if (navigator.userAgent.indexOf ("4.0") >= 0) { window.location = "latestver.html"; } else - if (ver >= 11) { // Sinon on regarde s'il ont JavaScript 1.1 avant d'utiliser newver.html { window.location - = "newver.html"; } else // Par défaut on choisit oldver.html pour tous les autres. { window.location = - "oldver.html"; } } // --> </script> </head>
+-
<body> <!-- Met oldver.html sur le lien pour les - navigateurs qui n'ont pas JavaScript --> <a href="oldver.html" onClick="nextPage(); return false;">mon - lien</a> </body> </html>
+ <html>
+ <head>
+ Detecteur JavaScript pour navigateur
+
+
+
+
+ </head>
+ <body>
+
+ monlien
+ </body>
+ </html>
+
-+-
window.open("https://www.javarome.net")
+ window.open("https://www.javarome.net")
+
La communication entre JavaScript et une applet Java est - possible grâce à LiveConnect, qui est automatiquement fournit à partir de La communication entre JavaScript et une applet Java est + possible grâce à LiveConnect, qui est automatiquement fourni à partir de Netscape Navigator 3.0 et activé par la double activation - de Java et JavaScript dans la configuration du navigateur. -
+ de Java et JavaScript dans la configuration du navigateur. Une applet ne peut accéder à JavaScript et les objets que si elle importe le package
- netscape.javascript
qui définit les classes JSObject
et JSException
:
-
netscape.javascript
qui définit les classes JSObject
et JSException
:
import netscape.javascript.*;
-
- (Note: Ce package se trouve dans le fichier java_30
, généralement situé dans le sous-répertoire
- Program\java\classes
du navigateur. Ce répertoire doit donc être ajouté au CLASSPATH
- lors de la compilation de l'applet)
-
java_30
, généralement situé dans le sous-répertoire
+ Program\java\classes
du navigateur. Ce répertoire doit donc être ajouté au CLASSPATH
+ lors de la compilation de l'applet) De l'autre côté, le document HTML intégrant cette applet doit autoriser celle-ci à communiquer avec JavaScript
- grâce au paramètre mayscript
du tag <applet>
. Par exemple :
+ grâce au paramètre mayscript
du tag applet
. Par exemple :
<applet code="monApplet.class" width=100 height=100 mayscript></applet>
-
+
+
+
La classe Java JSObject
permet alors d'accéder aux objets JavaScript de la page, à commencer par
- l'objet window, récupérable à l'aide de la fonction getWindow()
:
-
-+ l'objet window, récupérable à l'aide de la fonction-
JSObject win = JSObject.getWindow (this);
getWindow()
:
+
+ JSObject win = JSObject.getWindow (this);
+
Tout sous-objet ou propriété peut ensuite être accédé via la fonction getMember(nomObjet)
.
- Par exemple :
-
JSObject doc = (JSObject) win.getMember ("document"); JSObject formulaire = (JSObject)
- doc.getMember ("testForm"); JSObject caseACocher = (JSObject) formulaire.getMember ("testCheck"); Boolean
- estCochee = (Boolean) caseACocher.getMember ("checked");
- Les méthodes JavaScript, qu'elles soit utilisateur ou système, peuvent alors être appelées de deux manières + Par exemple :
+
+ JSObject doc = (JSObject) win.getMember ("document");
+ JSObject formulaire = (JSObject) doc.getMember ("testForm");
+ JSObject caseACocher = (JSObject) formulaire.getMember ("testCheck");
+ Boolean estCochee = (Boolean) caseACocher.getMember ("checked");
+
+ Les méthodes JavaScript, qu'elles soient utilisateur ou système, peuvent alors être appelées de deux manières
différentes. Soit via la méthode call()
de la classe JSObject
, en passant en paramètres
le nom de la méthode et un tableau de ses arguments (ne pouvant pas être null
mais pouvant contenir
- une chaîne) :
-
String arguments[] = {"premierArg", "secondArg"}; win.call ("nomMethode", arguments);
-
- soit via la méthode eval()
de cette classe, qui reçoit en paramètre une chaîne Jaît à exécuter. Par
- exemple :
-
win.eval ("nomMethode(" + premierArg + "," + secondArg + ")");
- Connaître le naviîutilisé pour lire votre page
+ une chaîne vide) : +
+ String arguments[] = {"premierArg", "secondArg"};
+ win.call ("nomMethode", arguments);
+
+ Soit via la méthode eval()
de cette classe, qui reçoit en paramètre une chaîne JavaScript à
+ exécuter. Par exemple :
+ win.eval ("nomMethode(" + premierArg + "," + secondArg + ")");
+
+ Connaître le navigateur utilisé pour lire votre page
navigator.appName
donne le nom du navigateurnavigator.appVersion
donne la version du navigateurLa communication entre JavaScript et une applet Java est possible grâce à LiveConnect, qui est - automatiquement fourni à partir de Netscape 3.0 et activé par la double activation de Java et JavaScript dans la + automatiquement fournit à partir de Netscape 3.0 et activé par la double activation de Java et JavaScript dans la configuration du navigateur.
Les packages et classes Java font alors partie pour JavaScript de l'objet Packages
. On peut alors
- appeler la méthode d'une classe Java selon la syntaxe suivante :
-
---
-Packages.nomPackage.nomClasse.nomMéthode(paramètres)
-
(A noter que les alias java
, sun
et netscape
désignent respectivement
- Packages.java
, Packages.sun
et Packages.netscape
).
+ appeler la méthode d'une classe Java selon la syntaxe suivante :
+ Packages.nomPackage.nomClasse.nomMéthode(paramètres)
+
+ (A noter que les alias java
, sun
et netscape
désignent
+ respectivement Packages.java
, Packages.sun
et Packages.netscape
).
Les applets Java présentes dans un document sont alors référençables à partir de l'objet document, selon les syntaxes suivantes, au choix :
-
- document.nomApplet
document.applets[nomApplet]
(nomApplet
- étant attribué par le paramètre name
de l'applet) document.applets[indexApplet]
-
document.nomApplet
+ document.applets[nomApplet]
(nomApplet
+ étant attribué par le paramètre name
de l'applet) document.applets[indexApplet]
+ Voici l'exemple d'une applet affichant le nombre de clics effectués sur sa surface depuis sa création (essayez donc) :
- +Un cookie est une chaîne de caractères de la forme :
--+-
nom
=valeur;expires=dateExpiration;
+ nom=valeur;expires=dateExpiration;
+
document.cookie
.
+ document.cookie
.
+ L'écriture d'un cookie peut s'effectuer par...
window.document.write("Hello!")
`); const codeEl = context.inputFile.document.querySelector('code'); const replacement = await replacer.replacement(context, codeEl); @@ -16,7 +16,7 @@ describe('CodeReplacer', () => { test('replaces tags', async () => { const code = 'window.document.write("Hello!")'; - const context = rr0TestUtil.newHtmlContext('tech/info/soft/proj/design/arch/web/js/JavaScript.html', + const context = rr0TestUtil.newHtmlContext('tech/info/soft/proj/design/arch/web/js/index.html', `${code}
`);
const codeEl = context.inputFile.document.querySelector('code');
const replacement = await replacer.replacement(context, codeEl);
@@ -36,7 +36,7 @@ describe('CodeReplacer', () => {
}
`;
- const context = rr0TestUtil.newHtmlContext('tech/info/soft/proj/design/arch/web/js/JavaScript.html',
+ const context = rr0TestUtil.newHtmlContext('tech/info/soft/proj/design/arch/web/js/index.html',
`${code}
`);
const codeEl = context.inputFile.document.querySelector('code');
const replacement = await replacer.replacement(context, codeEl);
diff --git a/time/1/9/6/8/CondonReport/intro.htm b/time/1/9/6/8/CondonReport/intro.htm
index 20272188e9..11efe7101e 100644
--- a/time/1/9/6/8/CondonReport/intro.htm
+++ b/time/1/9/6/8/CondonReport/intro.htm
@@ -7,13 +7,13 @@ L'Etude Scientifique des Objets Volants Non Identifiés fut réalisée par l'Université du Colorado entre , avec le professeur de physique Edward U. Condon comme directeur scientifique. Il est souvent désigné sous le nom de "Rapport Condon" ou "Rapport du Projet du Colorado". À ce jour, le travail accompli - sous la direction du docteur Condon représente le seul et plus grand projet - scientifique jamais entrepris concernant le problème des ovnis. De l'opinion d'une majorité considérable des - principaux scientifiques, sa conclusion principale a résisté à l'épreuve du temps :
+ sous la direction du docteur Condon représente le seul et plus + grand projet scientifique jamais entrepris concernant le problème des ovnis. De l'opinion d'une majorité considérable + des principaux scientifiques, sa conclusion principale a résisté à l'épreuve du temps :Un examen attentif des données mises à notre disposition nous amène à conclure que toute étude ultérieure détaillée des ovnis n'est probablement pas justifiée si l'on attend que cela fasse avancer la science.
+ href="/science">science.Il a été argumenté que cette absence de contribution à la science était due au fait que très peu d'effort scientifique avait été consacré au sujet. Nous ne sommes pas d'accord. Nous pensons que la raison pour laquelle il y a eu très peu d'étude scientifique sur le sujet est que les scientifiques les plus directement @@ -30,7 +30,7 @@
Le Projet Colorado
Pour remédier à cette situation, les Sceptiques de la Zone de la Capitale Nationale sont ravis de présenter, avec la permission des Régents de l'Université du Colorado, l'édition Internet - NCAS RR0: ici revue par RR0 de l'Etude + NCAS RR0 : ici revue par RR0 de l'Etude scientifique des Objets Volants Non Identifiés. Notre groupe de volontaires, sous la direction infatigable de Jim Giglio, a travaillé pendant plus de 1 an pour apporter ce document sur le web. Nous ne doutons pas que l'effort se révèlera méritant, et que le document se révèlera utile dans l'évaluation rationnelle de nombreux aspects de la diff --git a/time/1/9/6/8/CondonReport/readme.htm b/time/1/9/6/8/CondonReport/readme.htm index 9495ca2726..ba1d5b9f31 100644 --- a/time/1/9/6/8/CondonReport/readme.htm +++ b/time/1/9/6/8/CondonReport/readme.htm @@ -1,181 +1,130 @@ - -
Condon Report, LisezMoi! du NCAS - - - - -Observations visuelles faites par des astronautes des U. S. - Etude scientifiques des Objets Volants Non - Identifiés - - - -Notes au lecteur
-Jim Giglio, coordinateur du NCAS, Projet Rapport Condon
--
- -- -Home > Rapport Condon - > Sommaire --
-- Général
-- Organization et liens
-- "Look and Feel"
-- Graphiques et expressiosn mathématiques
-- Naviguer depuis l'index
-- Conclusion : quel navigateur ?
-- Général - -
-- Préparer un document pour présentation sur le Web n'est pas la même chose que de rassembler un livre ou rapport - imprimé. Une copie papier est linéaire ; le lecteur va typiquement d'une page à la suivante dans l'ordre des numéros - de page. Mais un document web, faire défiler les éléments écran après écran (comme s'il s'agissait des pages d'un - livre) devient très rapidement fatiguant. Les documents web sont donc généralement découpés en petits segments et hyperliés - de sorte que le lecteur puisse cliquer d'un élément à un autre sans considération pour l'ordre des pages.
-- Le Rapport Condon, même dans sa version papier d'origine, possédait certaines caractéristiques d'un document web. - Etant un rapport pour le gouvernement, il commençait par présenter ses conclusions, suivi de données étayantes ; - celles-ci peuvent être lues dans pratiquement n'importe quelle ordre. En adaptant le rapport au web, nous avons tenter - de tirer avantage de cette segmentation intrinsèque tout en préservant la plupart des éléments de son "look and feel" - d'origine [RR0: le look and feel n'a pas été considéré intéressant à maintenir].
-Organisation et liens
-- Le point d'entrée de base du rapport est la Table des Matières (un lien cliquable depuis - la Page de Titre). Chaque entrée dans la table des matières est - également un lien cliquable, vers :
--
- -- un chapitre dans une section, -
-- un en-tête de section avec des liens vers ses chapitres, -
-- une annexe, -
-- un index de liens vers les planches photographiques, -
-- une index de liens séparé vers les figures, ou
-- l'index du document en entier. -
-- Chaque étude de cas (il y en a 59) est également atteignable via un ensemble de liens - séparés depuis les 3 chapitres contenant les cas. - -
-- A l'exception de quelques-uns des plus courts, tous les chapitres présentent un ensemble de liens internes vers leurs - sous-chapitres numérotés [RR0: la numérotation a été jugée inutile dans un document web]. - Ils vous permettent de naviguer dans les chapitres par petits morceaux ; chaque sous-chapitre possède également un - lien "Retour" vous renvoyant en haut du chapitre [RR0: ces liens retours ont été supprimés car redondants avec la fonction "retour/précédent" des navigateurs web], - où un autre lien vous ramènent vers la table des matières [RR0: les liens vers la table des matières ou plus généralement les niveaux supérieurs onté été intégrés dans la barre de navigation en haut et bas de chaque page]. - Lorsque vous voyez une "Introduction" numérotée 0, cela est dû au fait que l'auteur d'origine n'avait pas fourni - d'introduction numérotée, et que nous en avons insérée une dans l'intérêt d'une navigation "pointe et clique".
-- Les planches et figures individuelles ne possèdent pas de liens ; utilisez simplement la "flèche-retour" de votre - navigateur pour revenir au lien qui vous a amené à la planche ou la figure. - -
-"Look and feel"
-- Le document avec lequel nous avions commencé était le rapport d'origine tel que soumis à l'Air Force en 1968, que nous avions obtenu du - Système de la Bibliothèque de l'Université du Colorado. Il consistait simplement en 1400 pages dactylographiées - entremêlées de plus de 100 figures et plus de tableaux que nous ne voulions en compter, plus quelques 65 pages de - planches photographiques. - -
-- Nous avons préservé l'organisation d'origine du rapport, même au point de maintenir sa pagination d'origine (sauts de - page montrant les numéros de page dans des doubles crochets, comme ceci : [[666]]) [RR0: les sauts et numéros de page ont été supprimés pour le confort de lecture]. - Nous n'en avons cependant pas été esclaves ; le texte apparaît dans la fonte que vous choisissez depuis le paramétrage - des options de votre navigateur [RR0: le texte apparaît dans la fonte de la charte graphique du site RR0], - et lorsque vous ajustez les bordures de la fenêtre du navigateur, le texte se re-découpera pour s'ajuster aux - nouvelles marges. Nous avons également pris certaines libertés avec l'apparence d'origine des tableaux, les tableaux - préparés sur une machine à écrire tendant à être laids et difficiles à lire. - -
-- De temps en temps dans le texte, vous verrez des notes éditoriales expliquant des déviations significatives par - rapport à l'apparence et/ou l'organisation d'origine du texte ou des graphiques. Des exemples incluent : - -
--
- -- - Echanger les axes horizontaux et verticaux d'un tableau ou d'un graphique, -
-- - Corriger la numérotation des sous-chapitres,
-- - Corriger les références de texte aux figures ou aux tableaux, ou
-- - Noter des anomalies, telles que l'absence de notes en bas de page correspondant aux numéros entre parenthèses dans - le texte.
-- Les blocs colorés sur la page de titre sont les seuls que vous verrez [RR0: Ils ont été supprimés dans cette version]; - le rapport d'origine ne contient essentiellement pas d'éléments décoratifs quels qu'ils soient, et nous ne voyons pas - de raison de dévier de cette politique ; le rapport tient ou tombe sur son contenu informatif et sa méthodologie - scientifique, pas sur son thème de couleurs.
-Graphiques et expressions mathématiques
-- A mesure que vous défilerez dans les chapitres, vous rencontrerez des graphiques "incrustés" ; pour gagner du temps - dans le chargement de chapitres contenant de lourds graphiques dans votre navigateur, nous avons rendus ces graphiques - sous la forme de petites images "vignettes" sur lesquelles on peut cliquer pour présenter l'image en pleine taille - [RR0: les vignettes ont été remplacées par les images pleine taille d'origine pour faciliter la lecture. Le volume de chargement ne pose plus de problème aujourd'hui]. -
-- Les expressions mathématiques, dans la plupart des cas, ont été rendus du texte ordinaire, en utilisant la capacité - des "tableaux" HTML pour contrôler leur disposition avec une certaine - précision. Là où des caractères grecs apparaissent, nous les avons généralement rendus phonétiquement ("alpha", - "beta", etc.). Un chapitre (Mirage optique, en section - 6) était lourdement chargé d'expressions mathématiques, incluant de nombreux caractères grecs et autres symboles - spéciaux. Dans ce chapitre, les expressions mathématiques sont rendus sous forme d'images graphiques séparées incluses - dans le texte. Il y a plus de 75 de ces images, et donc le chapitre Mirage - optique pourrait nécessiter un temps substantiel à se charger.
-Naviguer depuis l'index
-- Bien qu'il puisse sembler bizarre d'inclure l'index en adaptant un document au format papier au web, le fait que nous - l'ayons inclus, avec les numéros de pages d'origine, vous offre un autre moyen de naviguer dans le rapport. Faites - simplement défiler les entrées jusqu'à ce que vous repériez quelque chose d'un intérêt possible, puis notez le numéro - de page et utilisez la Table des Matières pour localiser le chaptire approprié. Une fois - dans le chapitre, utilisez la fonctionnalité "rechercher" du navigateur pour aller directement à cette page. Par - exemple, si le numéro de page est 445, la chaîne de recherche serait "[[445]]" [RR0: Ceci a été remplacé par un moteur de recherche en page de titre]. -
-- A l'évidence, ceci marche mieux si votre système permet à 2 fenêtres de navigateur d'être actives au même moment. Cela - fonctionnerait même si chaque numéro de page dans l'index était cliquable. Nous travaillerons là-dessus pour la - prochaine version. - -
- -Conclusion : quel navigateur ?
-- Le codage HTML a été testé avec Microsoft - Explorer comme Netscape Navigator, principalement sous - Windows 3.1 sur un PC basé - sur un 486. Avec quelques exceptions telles que le chapitre sur le mirage optique, - tout se charge avec une rapidité raisonnable dans cet environnement. Le navigateur que vous utilisez, et le fait que - vous ayez un Pentium avec une connexion Internet décente ne devraient donc pas faire grande différence, et le - chargement et la performance de défilement devraient être plus qu'adéquates. -
-Si votre navigateur vous permet de désactiver les images ou les tableaux, et que vous l'avez fait, la plupart des - informations du rapport vous sera inaccessible ; vous devriez ré-activer ces fonctionnalités en consultant ce - document. Il n'y a qu'un élément (l'index) qui utilise plusieurs cadres, et si votre navigateur ne sait pas afficher - les cadres, une version de l'index sans cadres (légèrement moins pratique à naviguer) sera affichée automatiquement. - Nous n'avons utilisé ni Java ni Javascript, ni des graphiques animés d'aucune sorte ; comme - indiqué ci-dessus, le contenu informatif est ce qui compte, pas les "paillettes" de la présentation. -
--
- - + +- -Home > Rapport Condon - > Sommaire -Condon Report, LisezMoi! du NCAS + + + ++ +Général
+Préparer un document pour présentation sur le Web n'est pas la même chose que de rassembler un livre ou rapport + imprimé. Une copie papier est linéaire ; le lecteur va typiquement d'une page à la suivante dans l'ordre des numéros + de page. Mais un document web, faire défiler les éléments écran après écran (comme s'il s'agissait des pages d'un + livre) devient très rapidement fatiguant. Les documents web sont donc généralement découpés en petits segments et + hyperliés de sorte que le lecteur puisse cliquer d'un élément à un autre sans considération pour l'ordre des + pages.
+Le Rapport Condon, même dans sa version papier d'origine, possédait certaines caractéristiques d'un document web. + Etant un rapport pour le gouvernement, il commençait par présenter ses conclusions, suivi de données étayantes ; + celles-ci peuvent être lues dans pratiquement n'importe quel ordre. En adaptant le rapport au web, nous avons tenté + de tirer avantage de cette segmentation intrinsèque tout en préservant la plupart des éléments de son "look and + feel" d'origine RR0 : le look & feel n'a pas été considéré intéressant à maintenir.
++ +Organisation et liens
++ Le point d'entrée de base du rapport est la Table des Matières (un lien cliquable depuis + la Page de Titre). Chaque entrée dans la table des matières est + également un lien cliquable, vers :
++
+- un chapitre dans une section,
+- un en-tête de section avec des liens vers ses chapitres,
+- une annexe,
+- un index de liens vers les planches photographiques,
+- un index de liens séparé vers les figures, ou
+- l'index du document en entier.
+Chaque étude de cas (il y en a 59) est également atteignable via un ensemble de liens + séparés depuis les 3 chapitres contenant les cas.
+À l'exception de quelques-uns des plus courts, tous les chapitres présentent un ensemble de liens internes vers + leurs sous-chapitres numérotés RR0 : la numérotation a été jugée inutile dans un document web. Ils vous permettent de + naviguer dans les chapitres par petits morceaux ; chaque sous-chapitre possède également un lien "Retour" vous + renvoyant en haut du chapitre RR0 : ces liens retours ont été supprimés car redondants avec la fonction + "retour/précédent" des navigateurs web, où un autre lien vous ramènent vers la table + des matières RR0 : les liens vers la table des matières ou plus généralement les niveaux + supérieurs onté été intégrés dans la barre de navigation en haut et bas de chaque page. Lorsque vous voyez + une "Introduction" numérotée 0, cela est dû au fait que l'auteur d'origine n'avait pas fourni d'introduction + numérotée, et que nous en avons inséré une dans l'intérêt d'une navigation "pointe et clique".
+Les planches et figures individuelles ne possèdent pas de liens ; utilisez simplement la "flèche-retour" de votre + navigateur pour revenir au lien qui vous a amené à la planche ou la figure. +
++ +"Look and feel"
+Le document avec lequel nous avions commencé était le rapport d'origine tel que soumis à l'Air Force en , que nous avions obtenu du Système de la + Bibliothèque de l'Université du Colorado. Il consistait simplement en 1400 pages dactylographiées entremêlées de + plus de 100 figures et plus de tableaux que nous ne voulions en compter, plus quelque 65 pages de planches + photographiques.
+Nous avons préservé l'organisation d'origine du rapport, même au point de maintenir sa pagination d'origine (sauts + de page montrant les numéros de page dans des doubles crochets, comme ceci : [[666]]) RR0 : les + sauts et numéros de page ont été supprimés pour le confort de lecture. Nous n'en avons cependant pas été + esclaves ; le texte apparaît dans la fonte que vous choisissez depuis le paramétrage des options de votre navigateur + RR0: le texte apparaît dans la fonte de la charte graphique du site RR0, et lorsque vous + ajustez les bordures de la fenêtre du navigateur, le texte se re-découpera pour s'ajuster aux nouvelles marges. Nous + avons également pris certaines libertés avec l'apparence d'origine des tableaux, les tableaux préparés sur une + machine à écrire tendant à être laids et difficiles à lire. +
+De temps en temps dans le texte, vous verrez des notes éditoriales expliquant des déviations significatives par + rapport à l'apparence et/ou l'organisation d'origine du texte ou des graphiques. Des exemples incluent :
++
+- Echanger les axes horizontaux et verticaux d'un tableau ou d'un graphique,
+- Corriger la numérotation des sous-chapitres,
+- Corriger les références de texte aux figures ou aux tableaux, ou
+- Noter des anomalies, telles que l'absence de notes en bas de page correspondant aux numéros entre parenthèses + dans le texte.
+Les blocs colorés sur la page de titre sont les seuls que vous verrez RR0 : Ils ont été supprimés dans cette version ; le rapport d'origine ne contient + essentiellement pas d'éléments décoratifs quels qu'ils soient, et nous ne voyons pas de raison de dévier de cette + politique ; le rapport tient ou tombe sur son contenu informatif et sa méthodologie scientifique, pas sur son thème + de couleurs.
++ +Graphiques et expressions mathématiques
+À mesure que vous défilerez dans les chapitres, vous rencontrerez des graphiques "incrustés" ; pour gagner du temps + dans le chargement de chapitres contenant de lourds graphiques dans votre navigateur, nous avons rendus ces + graphiques sous la forme de petites images "vignettes" sur lesquelles on peut cliquer pour présenter l'image en + pleine taille RR0 : les vignettes ont été remplacées par les images pleine taille d'origine pour + faciliter la lecture. Le volume de chargement ne pose plus de problème aujourd'hui].
+Les expressions mathématiques, dans la plupart des cas, ont été rendus du texte ordinaire, en utilisant la capacité + des "tableaux" HTML pour contrôler leur disposition avec une certaine + précision. Là où des caractères grecs apparaissent, nous les avons généralement rendus phonétiquement ("alpha", + "beta", etc.). Un chapitre (Mirage optique, en section + 6) était lourdement chargé d'expressions mathématiques, incluant de nombreux caractères grecs et autres + symboles spéciaux. Dans ce chapitre, les expressions mathématiques sont rendus sous forme d'images graphiques + séparées incluses dans le texte. Il y a plus de 75 de ces images, et donc le chapitre Mirage optique pourrait nécessiter un temps substantiel à se charger.
++ +Naviguer depuis l'index
+Bien qu'il puisse sembler bizarre d'inclure l'index en adaptant un document au format papier au web, le fait que + nous l'ayons inclus, avec les numéros de pages d'origine, vous offre un autre moyen de naviguer dans le rapport. + Faites simplement défiler les entrées jusqu'à ce que vous repériez quelque chose d'un intérêt possible, puis notez + le numéro de page et utilisez la Table des Matières pour localiser le chaptire + approprié. Une fois dans le chapitre, utilisez la fonctionnalité "rechercher" du navigateur pour aller directement à + cette page. Par exemple, si le numéro de page est 445, la chaîne de recherche serait "[[445]]" RR0: Ceci a été remplacé par un moteur de recherche en page de titre]. +
+À l'évidence, ceci marche mieux si votre système permet à 2 fenêtres de navigateur d'être actives au même moment. + Cela fonctionnerait même si chaque numéro de page dans l'index était cliquable. Nous travaillerons là-dessus pour la + prochaine version.
++ + diff --git a/time/1/9/6/8/CondonReport/s6/c04/biblio/index.html b/time/1/9/6/8/CondonReport/s6/c04/biblio/index.html index 23fd8f9cf1..6730cb167f 100644 --- a/time/1/9/6/8/CondonReport/s6/c04/biblio/index.html +++ b/time/1/9/6/8/CondonReport/s6/c04/biblio/index.html @@ -1,18 +1,8 @@ - - - -Conclusion : quel navigateur?
+Le codage HTML a été testé avec Microsoft Explorer comme Netscape Navigator, principalement sous Windows 3.1 sur un PC basé sur un 486. Avec quelques exceptions telles que le chapitre sur le mirage optique, tout se charge avec une rapidité raisonnable dans cet + environnement. Le navigateur que vous utilisez, et le fait que vous ayez un Pentium avec une connexion Internet + décente ne devraient donc pas faire grande différence, et le chargement et la performance de défilement devraient + être plus qu'adéquates. +
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Bibliographie - - - -Bibliographie
--
+ +- -Home > Rapport - Condon > Sommaire > Le contexte - scientifique > Mirage optique -Bibliographie + + +-
- Benson, Carl S., "Ice Fog: Low Temperature Air Pollution," Geophysical Inst., Univ. of Alaska (Novembre 1965).
@@ -47,7 +37,8 @@Bibliographie Publishing Company, Amsterdam; Interscience Publishers, Inc., New York, 1958).
- Owens, James C., "Optical Refractive Index of Air: Dependence on Pressure, Temperature and Composition," Applied Optics, Vol. 6, No.1 (Janvier 1967).
-- Pernter, J. M. and Felix M. Exner, Meteorologische Optik, (Wien und Leipzig, Wilhelm Braumuller, K. U. K. +
- Pernter, J. M. and Felix M. Exner, Meteorologische Optik, (Wien und Leipzig, Wilhelm Braumuller, + K. U. K. Hofund Universitats-Buchhandler, 1910).
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+ Dielektrisitats konstante", Ann. Physik, Vol. 60, pp. 734-762 (1919).- Wood, Robert W., Physical Optics, 3rd ed., (The MacMillan Company, New York,1934).
- - - - + diff --git a/time/1/9/6/8/CondonReport/s6/c04/concepts/index.html b/time/1/9/6/8/CondonReport/s6/c04/concepts/index.html index 92fcc7797a..2e4659b36a 100644 --- a/time/1/9/6/8/CondonReport/s6/c04/concepts/index.html +++ b/time/1/9/6/8/CondonReport/s6/c04/concepts/index.html @@ -1,85 +1,69 @@ - - - --
-- -Home > Rapport Condon > Sommaire > Le contexte scientifique > Mirage optique -Concepts physiques de base et variables atmosphriques impliques dans la rfraction de la lumire - - - - -Concepts physiques de base et variables atmosphriques - impliques dans la rfraction de la lumire
--
-- -Home > Rapport - Condon > Sommaire > Le contexte - scientifique > Mirage optique --
- Gnral
-- Indice de rfraction optique
-- Loi de rfraction de Snell
-- Reflets partiels
-- Variations spatiales
-- Conditions mtorologiques
+ +Concepts physiques de base et variables atmosphériques impliquées dans la réfraction de la lumière + + + + ++
-- Général
+- Indice de réfraction optique
+- Loi de réfraction de Snell
+- Reflets partiels
+- Variations spatiales
+- Conditions météorologiques
Gnral
-- Dans le vide ou dans un medium de densit constante, l'nergie d'une source mettant de la lumire voyage selon une - ligne droite. En consquence, un observateur distant voit la source lumire sa position exacte. Dans un medium de - densit variable, comme l'atmosphre terrestre, la direction de la propagation d'nergie est dvie de la ligne droite - ; i.e., rfracte. La refraction amne l'observateur voir une source de lumire distante une position apparente - diffrant de la vritable position par une distance angulaire dont la magnitude dpend du degr de refraction, i.e. du - degr de variation de densit entre l'observateur et la source de lumire. Les changements de direction dans la - propagation d'nergie proviennent principalement de changements dans la vitesse de propagation de l'nergie. Cette - dernire est directement lie la densit.
-- Une image claire de ce qui provoque la rfraction est obtenue par le biais du principe de Huygens qui indique que chaque point sur une wavefront Mai be regarded - as the source or center of "secondary waves" or "secondary disturbances," At a given instant, the wavefront is the - envelope of the centers of the secondary disturbances. In the case of a travelling wavefront the center of each - secondary disturbance propagates in a direction perpendicular to the wavefront. When the velocity of propagation - varies along the wavefront the disturbances travel different distances so that the orientation of their enveloping - surface changes in time, i.e., the direction of propagation of the wavefront changes.
-- Practically all large-scale effects of atmospheric refraction can be explained by the use of geometrical optics, which - is the method of tracing light rays -- i.e., of following directions of energy flow. The laws that form the basis of - geometrical optics are the law of reflection (formulated by Fresnel) and the law of refraction (formulated by Snell). - When a ray of light strikes a sharp boundary that separates two transparent media in which the velocity of light is - appreciably different, such as a glass plate or a water surface, the light ray is in general divided into a reflected - and a refracted part. Such surfaces of dis- continuity in light velocity do not exist in the cloud-free atmosphere. - Instead changes in the speed of energy propagation are continuous and are large only over layers that are thick - compared to the optical wavelengths. It has been shown (J. Wallot, 1919) that, in this case, the reflected part of the - incident radiation is negligible so that all the energy is contained in the refracted part. Since in the lower - atmosphere, where mirages are most common, absorption of optical radiation in a layer of the thickness of one - wavelength is negligible, Snell's law of refraction forms the basis of practically all investigations of large-scale - optical phenomena that are due to atmospheric refraction (Paul S. Epstein, 1930).
-Indice de rfraction optique de l'atmosphre
-- L'indice de rfraction optique (n) est dfini comme le ratio de la vitesse (v) laquelle la lumire - monochromatique ( longueur d'onde unique) est propage dans un medium homogne, isotrope, non-conducteur, la - vitesse (c) de la lumire dans l'espace libre, i.e., n = c/v. Dans l'espace libre, i.e., hors de - l'atmosphere terrestre, n = 1. Ainsi, dans le cas d'un signal lumineux monochromatique voyageant travers un - medium donn, c/v > 1. Dans le cas o le signal lumineux n'est pas monochromatique et que les vitesses - (v) des ondes composites varient avec la longueur d'onde (Lambda), l'nergie du signal est propage avec - une vitesse de groupe u o :
++ +Général
++ Dans le vide ou dans un medium de densité constante, l'énergie d'une source émettant de la lumière voyage selon une + ligne droite. En conséquence, un observateur distant voit la source lumière à sa position exacte. Dans un medium de + densité variable, comme l'atmosphère terrestre, la direction de la propagation d'énergie est déviée de la ligne + droite ; i.e., réfractée. La refraction amène l'observateur à voir une source de lumière distante à une position + apparente diffèrant de la véritable position par une distance angulaire dont la magnitude dépend du degré de + refraction, i.e. du degré de variation de densité entre l'observateur et la source de lumière. Les changements de + direction dans la propagation d'énergie proviennent principalement de changements dans la vitesse de propagation de + l'énergie. Cette dernière est directement liée à la densité.
++ Une image claire de ce qui provoque la réfraction est obtenue par le biais du principe de Huygens qui indique que chaque point sur une wavefront Mai be regarded as the + source or center of "secondary waves" or "secondary disturbances," At a given instant, the wavefront is the envelope + of the centers of the secondary disturbances. In the case of a travelling wavefront the center of each secondary + disturbance propagates in a direction perpendicular to the wavefront. When the velocity of propagation varies along + the wavefront the disturbances travel different distances so that the orientation of their enveloping surface + changes in time, i.e., the direction of propagation of the wavefront changes.
++ Practically all large-scale effects of atmospheric refraction can be explained by the use of geometrical optics, + which is the method of tracing light rays -- i.e., of following directions of energy flow. The laws that form the + basis of geometrical optics are the law of reflection (formulated by Fresnel) and the law of refraction (formulated + by Snell). When a ray of light strikes a sharp boundary that separates two transparent media in which the velocity + of light is appreciably different, such as a glass plate or a water surface, the light ray is in general divided + into a reflected and a refracted part. Such surfaces of dis- continuity in light velocity do not exist in the + cloud-free atmosphere. Instead changes in the speed of energy propagation are continuous and are large only over + layers that are thick compared to the optical wavelengths. It has been shown (J. Wallot, 1919) that, in this case, + the reflected part of the incident radiation is negligible so that all the energy is contained in the refracted + part. Since in the lower atmosphere, where mirages are most common, absorption of optical radiation in a layer of + the thickness of one wavelength is negligible, Snell's law of refraction forms the basis of practically all + investigations of large-scale optical phenomena that are due to atmospheric refraction (Paul S. Epstein, 1930).
+Indice de réfraction optique de l'atmosphère
++ L'indice de réfraction optique (n) est défini comme le ratio de la vitesse (v) à laquelle la lumière + monochromatique (à longueur d'onde unique) est propagée dans un medium homogène, isotrope, non-conducteur, à la + vitesse (c) de la lumière dans l'espace libre, i.e., n = c/v. Dans l'espace libre, i.e., hors de + l'atmosphere terrestre, n = 1. Ainsi, dans le cas d'un signal lumineux monochromatique voyageant à travers un + medium donné, c/v > 1. Dans le cas où le signal lumineux n'est pas monochromatique et que les vitesses + (v) des ondes composites varient avec la longueur d'onde (Lambda), l'énergie du signal est propagée avec + une vitesse de groupe u où :
u = v - λ(dv/dλ)
- L'indice de rfraction de groupe est donn par :
+ L'indice de réfraction de groupe est donné par :c/u = n - λ(dn/dλ)
- Jenkins et White, 1957. Dans la rgion visible du spectre lectromagntique la dispersion, - dn/dLambda est trs petite (voir tableau 1) et un indice de groupe est pratiquement gal l'indice de la + Jenkins et White, 1957. Dans la région visible du spectre électromagnétique la dispersion, + dn/d·Lambda est très petite (voir tableau 1) et un indice de groupe est pratiquement égal à l'indice de la longueur d'onde moyenne.
- Pour un gaz, l'indice de rfraction est proportionnel la densit rho du gaz. Ceci peut tre exprim par la + Pour un gaz, l'indice de réfraction est proportionnel à la densité rho du gaz. Ceci peut être exprimé par la relation de Gladstone-Dale :
@@ -87,16 +71,13 @@ - - Tableau 1 - DEPENDENCE OF OPTICAL REFRACTIVE-INDEX ON ATMOSPHERIC PRESSURE, TEMPERATURE AND WAVELENGTH
(a) Pressure Dependence - --
- Conditions: 5455 , 15C + Conditions: 5455 Å, 15°C @@ -120,8 +101,6 @@ Tableau 1 - DEPENDENCE OF OPTICAL REFRACTIVE-INDEX ON ATMOSPHERIC PRESSURE,
(b) Temperature Dependence - -@@ -129,11 +108,11 @@
Tableau 1 - DEPENDENCE OF OPTICAL REFRACTIVE-INDEX ON ATMOSPHERIC PRESSURE,
- Conditions: 5455 , 1013.3 mb + Conditions: 5455 Å, 1013.3 mb - T, C +T, °C n @@ -153,8 +132,6 @@ Tableau 1 - DEPENDENCE OF OPTICAL REFRACTIVE-INDEX ON ATMOSPHERIC PRESSURE,
(c) Wavelength Dependence -@@ -162,11 +139,11 @@
Tableau 1 - DEPENDENCE OF OPTICAL REFRACTIVE-INDEX ON ATMOSPHERIC PRESSURE,
- Conditions: 1013.3 mb, 15C + Conditions: 1013.3 mb, 15°C - Lambda, +Lambda, Å n @@ -196,7 +173,6 @@ Tableau 1 - DEPENDENCE OF OPTICAL REFRACTIVE-INDEX ON ATMOSPHERIC PRESSURE,
where k is a wavelength-dependent constant, P and T are the pressure and temperature, and R is the gas constant. The refractive index of a mixture of gases, such as the earth's atmosphere, is generally @@ -209,8 +185,6 @@
Tableau 1 - DEPENDENCE OF OPTICAL REFRACTIVE-INDEX ON ATMOSPHERIC PRESSURE,
- - where P denotes the total pressure of the mixture, e the partial water vapor pressure and the subscripts d and v refer to dry air and water vapor, respectively. Using Eq. (1), the refractive index n of @@ -218,16 +192,14 @@
Tableau 1 - DEPENDENCE OF OPTICAL REFRACTIVE-INDEX ON ATMOSPHERIC PRESSURE,
- where nd and nv are the refractive indices at Po and - To. For Lambda = 5455 (about the center of the visible spectrum), at Po = 1013.3 - mb (760 mm Hg) and To = 273K, nd = 1.000292 and nv = 1.000257, + To. For Lambda = 5455Å (about the center of the visible spectrum), at Po = 1013.3 + mb (760 mm Hg) and To = 273°K, nd = 1.000292 and nv = 1.000257, so that
- For P = 1013.3 mb, maximum values of e/P (air saturated with water vapor) for a range of tropospheric temperatures are as follows:
@@ -236,7 +208,7 @@Tableau 1 - DEPENDENCE OF OPTICAL REFRACTIVE-INDEX ON ATMOSPHERIC PRESSURE,
- T(K) +T(°K) 273 283 288 @@ -281,18 +253,18 @@Tableau 1 - DEPENDENCE OF OPTICAL REFRACTIVE-INDEX ON ATMOSPHERIC PRESSURE,
where the Sigmao2 are resonance lines and Sigma is the wavenumber in inverse microns (i.e. - 1/Lambda). The latest equation is (Edln, 1966):
+ 1/Lambda). The latest equation is (Edlén, 1966):where na is the refractive index of dry air containing 0.03% CO2'. Pa is the partial + href="/politique/mouvement/ecologie/pollution/ges/co2">CO2'. Pa is the partial pressure of dry air, and Za-1 is the inverse compressibility factor for dry air (Owens, 1967). Za-1 is very close to unity; for :
Pa = 1013,25 mb,
-T = 288,16 K (15 C)
+T = 288,16 °K (15 °C)
Za-1 - 1 = 4,15 x 10-4
The standard value of Za-1 is assumed, i.e., the constant is
@@ -310,9 +282,9 @@Tableau 1 - DEPENDENCE OF OPTICAL REFRACTIVE-INDEX ON ATMOSPHERIC PRESSURE, refractive index correspond to relatively small changes in the direction of optical-energy propagation. Hence, an optical image that arises from atmospheric light refraction cannot be expected to have a large angular displacement from the light source. -
Loi de rfraction de Snell
+Loi de réfraction de Snell
- La loi de Snell, formule pour la rfraction at a boundary, Mai be stated as follows: the refracted ray lies in the + La loi de Snell, formulée pour la réfraction at a boundary, Mai be stated as follows: the refracted ray lies in the plane of incidence, and the ratio of the sine of the angle of incidence to the sine of the angle of refraction is constant. The constant is equal to the ratio of the indices of refraction of the two media separated by the boundary. Thus, Snell's law of refraction requires that:
@@ -322,400 +294,388 @@Tableau 1 - DEPENDENCE OF OPTICAL REFRACTIVE-INDEX ON ATMOSPHERIC PRESSURE,
where phi and phi' are the angles of incidence and refraction respectively in the - first and second medium, while n and n' are the corresponding values of the refractive index (see Fig. - 1).
-- The angle of refraction (phi') is always larger than the angle of incidence (phi) when n > - n', and the direction of energy propagation is from dense-to-rare. The critical angle of incidence - (phic) beyond which no refracted light is possible can be found from Snell's law by substituting - phi' = 90. Thus,
-- - - -- For all angles of incidence > phic the incident energy is totally reflected, and the - angle of reflection equals the angle of incidence (Goos and Haenchen, 1947).
-- Mirages arise under atmospheric conditions that involve "total reflection." Under such conditions the direction of - energy propagation is from dense-to-rare, and the angle of incidence exceeds the critical angle such that the - energy is not transmitted through the refracting layer but is "mirrored." The concept of total reflection is most - rigorously applied by Wegener in his theoretical model of atmospheric refraction (Wegener, 1918). - -
-- Snell's law can be put into a form that enables the construction of a light ray in a horizontal layer wherein the - refractive index changes continuously. Introducing a nondimensional rectangular phi ,z coordinate system - with the x-axis in the horizontal,
-- - - -where Phi denotes the angle between the vertical axis and the direction of energy propagation in the plane - of the coordinate system. Snell's law can now be applied by writing
-- - - -et
-- - - -- where no and phio are initial values. Substitution gives
-- - - -- When the refractive index n is expressed as a continuous function of x and z, the solution to - the differential equation (3) gives a curve in the x,z plane that represents the light ray emanating to the - point - - (no, phio). - - For example, when -
-n2 decreases linearly with z according to - - - : -n2 = n02 - z
-- Eq. (3) can be integrated in the form :
-- - - -- For an initial refractive index no and an initial direction of energy flow Thetaointegration - between 0 and z gives:
-- - - -- This equation represents a parabola. Hence, for a medium in which n changes with z in the above - prescribed fashion, the rays emanating from a given light source are a family of parabolas.
-- When the ordinate of the nondimensional coordinate system is to represent height, z must represent a - quantity az', where z' has units of height and a is the scale factor. - -
-- By introducing more complicated refractive-index profiles into Eq. (3), the paths of the refracted rays from an - extended light source can be obtained and mirage images can be constructed. Tait and other investigators have - successfully used this method to explain various mirage observations. - -
-- Application of Eq. (3) is restricted to light refraction in a plane- stratified atmosphere and to refractive-index - profiles that permit its integration.
-Reflets partiels de couches atmosphriques
-- The theory of ray tracing or geometrical optics does not indicate the existence of partial reflections, which - occur wherever there is an abrupt change in the direction of propagation of a wavefront. An approximate solution - to the wave equation Mai be obtained for the reflection coefficient applicable to a thin atmospheric layer (Wait, - 1962):
-- - - -- where R is the power reflection coefficient, Phi the angle of incidence, Z is height through a layer - bounded by Z1 and Z2, and Ko is the vacuum wavenumber
-- - - -- The equation is generally valid only when the value of R is quite small, say -
-R < 10-4 - . -- This result can be applied to atmospheric layers of known thickness and refractive index distribution; the most - convenient model is that in which :
-dn/dz = const. pour z1 ≤ - z ≤ z2 et dn/dz - = 0
-- everywhere else. Although some authors have argued that the reflection coefficient using this model depends - critically upon the discontinuity in du/dz at the layer boundaries, it can be shown using continuous - analytic models that the results will be the same for any functional dependence so long as the transition from - -
-- dn/dz = 0 to dn/dz = const. - - - occurs over a space that is not large compared to the effective wavelength. The effective wavelength is defined as - Lambdasec (Phi). For the simple linear model, R is given by : -- - - -o :
-α = K0 - cos Φ h
-- Deltan is the total change in n through the layer, and h is the thickness of the layer,
-h = z2 - - z1
-- For large values of h/Lambda, and hence large values of Alpha, the term sin - (Alpha)/Alpha Mai be approximated as 1/Alpha for maxima of sin Alpha. Since h/Lambda - is always large for optical wavelengths, e.g.
-- - - -- for a layer 1 cm thick, the power reflection coefficient Mai be approximated by
-- - - -- Atmospheric layers with :
-Δn ≅ 3,0x10-6
-- and h = 1 cm are known to exist in the surface boundary layer, e.g. producing inferior mirage. For visible - light with a "center wavelength" of 5.6xl0-5 cm (0.56), Lambdao/h is thus - 5.6x10-5. R then becomes :
-R ≅ 1,6x10-20 sec6 Φ -
-- This is a very small reflection coefficient, and light from even the brightest sources reflected at normal - incidence by such a layer would be invisible to the human eye. The situation Mai be different at grazing incidence - or large Phi; for a grazing angle of 1, Phi = 89,
-sec6 Φ ≅ 3,54x1010 -
-et
-R ≅ 5,6x10-10, Φ = 89 -
-- The critical grazing angle, Thetac, for a total reflection for the thin layer under discussion - is given by
-- - - -- which yields a value of 0.007746 rad or 26.6'. Substituting - -
-- Phi = 89 33.4' - - - in the equation for R gives : -R ≅ 7,4x10-8, Φ = 89 - 33,4'
-- Since the human eye is capable of recording differences at least as great as 3.5x10-8 (Minnaert, 1954), - partial reflections of strong light sources Mai occasionally be visible. The theoretical treatment discussed here - shows that as the critical angle for a mirage is exceeded there should be a drop in reflected intensity on the - order of 10-7 - 10-8, so that instead of a smooth transition from totally to partially - reflecting regimes, there should be a sharp decrease giving the impression of a complete disappearance of the - reflection. This is in agreement with observation. The theory also indicates that faint images produced by partial - reflection of very bright light sources, e.g. arc lights, Mai be seen at angles somewhat larger than the critical - angle for a true mirage.
-Spatial Variations in the Atmospheric Index-of-Refraction
-- As dictated by Snell's law, refraction of light in the earth's atmosphere arises from spatial variations in - the optical refractive index. Since :
-n = f(P, T, λ)
-- according to Eq. (2), the spatial variations of n(Lambda) can be expressed in terms of the spatial - variations of atmospheric pressure and temperature. Routine measurements of the latter two quantities are made by - a network of meteorological surface observations and upper-air soundings. When the optical wavelength dependence - of n is neglected, Eq. (2) takes the form
-- - - -- and the gradient of n is given by
-- - - -- Optical mirages are most likely to form when atmospheric conditions of relative calm (no heavy cloudiness, no - precipitation or strong winds) and extended horizontal visibility (<10 miles) are combined with large radiative - heating or cooling of the earth's surface. Under these conditions the vertical gradients of pressure and - temperature are much larger than the horizontal gradients, i.e., the atmosphere tends to be horizontally - stratified [When horizontal gradients in the refractive index are present, the + Figure 1 - Loi de réfraction de Snell + + + +
where phi and phi' are the angles of incidence and refraction respectively in the first and second + medium, while n and n' are the corresponding values of the refractive index (see Fig. 1).
++ The angle of refraction (phi') is always larger than the angle of incidence (phi) when n > + n', and the direction of energy propagation is from dense-to-rare. The critical angle of incidence (phic) + beyond which no refracted light is possible can be found from Snell's law by substituting phi' = 90°. Thus,
++ + + ++ For all angles of incidence > phic the incident energy is totally reflected, and the angle + of reflection equals the angle of incidence (Goos and Haenchen, 1947).
++ Mirages arise under atmospheric conditions that involve "total reflection." Under such conditions the direction of + energy propagation is from dense-to-rare, and the angle of incidence exceeds the critical angle such that the energy + is not transmitted through the refracting layer but is "mirrored." The concept of total reflection is most rigorously + applied by Wegener in his theoretical model of atmospheric refraction (Wegener, 1918). + +
++ Snell's law can be put into a form that enables the construction of a light ray in a horizontal layer wherein the + refractive index changes continuously. Introducing a nondimensional rectangular phi ,z coordinate system with + the x-axis in the horizontal,
++ + + +where Phi denotes the angle between the vertical axis and the direction of energy propagation in the plane of + the coordinate system. Snell's law can now be applied by writing
++ + + +et
++ + + ++ where no and phio are initial values. Substitution gives
++ + + ++ When the refractive index n is expressed as a continuous function of x and z, the solution to the + differential equation (3) gives a curve in the x,z plane that represents the light ray emanating to the point + + (no, phio). + + For example, when +
+n2 decreases linearly with z according to + + + : +n2 = n02 - z
++ Eq. (3) can be integrated in the form :
++ + + ++ For an initial refractive index no and an initial direction of energy flow Thetaointegration + between 0 and z gives:
++ + + ++ This equation represents a parabola. Hence, for a medium in which n changes with z in the above + prescribed fashion, the rays emanating from a given light source are a family of parabolas.
++ When the ordinate of the nondimensional coordinate system is to represent height, z must represent a quantity + az', where z' has units of height and a is the scale factor. + +
++ By introducing more complicated refractive-index profiles into Eq. (3), the paths of the refracted rays from an + extended light source can be obtained and mirage images can be constructed. Tait and other investigators have + successfully used this method to explain various mirage observations. + +
++ Application of Eq. (3) is restricted to light refraction in a plane- stratified atmosphere and to refractive-index + profiles that permit its integration.
+Reflets partiels de couches atmosphériques
++ The theory of ray tracing or geometrical optics does not indicate the existence of partial reflections, which occur + wherever there is an abrupt change in the direction of propagation of a wavefront. An approximate solution to the wave + equation Mai be obtained for the reflection coefficient applicable to a thin atmospheric layer (Wait, 1962):
++ + + ++ where R is the power reflection coefficient, Phi the angle of incidence, Z is height through a layer + bounded by Z1 and Z2, and Ko is the vacuum wavenumber
++ + + ++ The equation is generally valid only when the value of R is quite small, say +
+R < 10-4 + . ++ This result can be applied to atmospheric layers of known thickness and refractive index distribution; the most + convenient model is that in which :
+dn/dz = const. pour z1 ≤ + z ≤ z2 et dn/dz = + 0
++ everywhere else. Although some authors have argued that the reflection coefficient using this model depends critically + upon the discontinuity in du/dz at the layer boundaries, it can be shown using continuous analytic models that + the results will be the same for any functional dependence so long as the transition from + +
++ dn/dz = 0 to dn/dz = const. + + + occurs over a space that is not large compared to the effective wavelength. The effective wavelength is defined as Lambda·sec + (Phi). For the simple linear model, R is given by : ++ + + +où :
+α = K0 +cos Φ h
++ Delta·n is the total change in n through the layer, and h is the thickness of the layer,
+h = z2 +- z1
++ For large values of h/Lambda, and hence large values of Alpha, the term sin (Alpha)/Alpha + Mai be approximated as 1/Alpha for maxima of sin Alpha. Since h/Lambda is always large for + optical wavelengths, e.g.
++ + + ++ for a layer 1 cm thick, the power reflection coefficient Mai be approximated by
++ + + ++ Atmospheric layers with :
+Δn ≅ 3,0x10-6
++ and h = 1 cm are known to exist in the surface boundary layer, e.g. producing inferior mirage. For visible + light with a "center wavelength" of 5.6xl0-5 cm (0.56µ), Lambdao/h is thus + 5.6x10-5. R then becomes :
+R ≅ 1,6x10-20 sec6 + Φ +
++ This is a very small reflection coefficient, and light from even the brightest sources reflected at normal incidence + by such a layer would be invisible to the human eye. The situation Mai be different at grazing incidence or large Phi; + for a grazing angle of 1°, Phi = 89°,
+sec6 Φ ≅ 3,54x1010 +
+et
+R ≅ 5,6x10-10, Φ = 89 + °
++ The critical grazing angle, Thetac, for a total reflection for the thin layer under discussion is + given by
++ + + ++ which yields a value of 0.007746 rad or 26.6'. Substituting + +
++ Phi = 89° 33.4' + + + in the equation for R gives : +R ≅ 7,4x10-8, Φ = 89 ° + 33,4'
++ Since the human eye is capable of recording differences at least as great as 3.5x10-8 (Minnaert, 1954), + partial reflections of strong light sources Mai occasionally be visible. The theoretical treatment discussed here + shows that as the critical angle for a mirage is exceeded there should be a drop in reflected intensity on the order + of 10-7 - 10-8, so that instead of a smooth transition from totally to partially reflecting + regimes, there should be a sharp decrease giving the impression of a complete disappearance of the reflection. This is + in agreement with observation. The theory also indicates that faint images produced by partial reflection of very + bright light sources, e.g. arc lights, Mai be seen at angles somewhat larger than the critical angle for a true + mirage.
+Spatial Variations in the Atmospheric Index-of-Refraction
++ As dictated by Snell's law, refraction of light in the earth's atmosphere arises from spatial variations in the + optical refractive index. Since :
+n = f(P, T, λ)
++ according to Eq. (2), the spatial variations of n(Lambda) can be expressed in terms of the spatial variations + of atmospheric pressure and temperature. Routine measurements of the latter two quantities are made by a network of + meteorological surface observations and upper-air soundings. When the optical wavelength dependence of n is + neglected, Eq. (2) takes the form
++ + + ++ and the gradient of n is given by
++ + + ++ Optical mirages are most likely to form when atmospheric conditions of relative calm (no heavy cloudiness, no + precipitation or strong winds) and extended horizontal visibility (<10 miles) are combined with large radiative + heating or cooling of the earth's surface. Under these conditions the vertical gradients of pressure and temperature + are much larger than the horizontal gradients, i.e., the atmosphere tends to be horizontally stratified [When horizontal gradients in the refractive index are present, the complex mirage images that occur are often referred to as Fata Morgana. It is believed, however, that the vertical gradient is the determining factor in the formation of most images]. Thus,
-- --or
-- -- -- --- Thus, the spatial variation in the refractive index, i.e., light refraction, depends primarily on the vertical - temperature gradient. When - - n/z - - is negative and the direction of energy propagation is from dense to rare, the curvature of light rays in the - earth's atmosphere is in the same sense as that of the earth's surface. Equation (4) shows that - - n/z - - is negative for all vertical gradients of temperature except those for which the temperature decreases with height - > 3.4C/l00 m. No light refraction takes place when - - n/z - - = 0; in this case - - n/z - - = -3.4C/100 m. which is the autoconvective lapse rate, i.e., the vertical temperature gradient in an atmosphere - of constant density. Table 2 gives the curvature of a light ray in seconds of arc per kilometer for various values - of - - n/z - - near the surface of the earth (standard P and T). When ray curvature is positive, it is in the same - sense as an earth's curvature.
-- - -- - --
-- Tableau 2 - Courbure des rayons lumineux pour diverses valeurs de VERTICAL TEMPERATURE GRADIENT des - conditions de pression (1013.3 mb) et de temprature (273K) standards - - - -- - -- -
(C/100m) -Courbure des rayons lumineux ("/km) -- - --3,4 -0 -- - --1,0 -5,3 -- - --0,5 -6,4 -- - -0 -7,5 -- - -+6,9 -22,7 -- - -+11,6 -33,0 -- From Table 2 it is evident that two types of vertical temperature variation contribute most to the formation of - mirages; these are temperature inversions - - [( T/Z )>0] - - and temperature lapse rates exceeding 3.4C/100m (the autoconvective lapse rate). Superautoconvective lapse rates - cause light rays to have negative curvature (concave upward), and are responsible for the formation of inferior - mirages (e.g., road mirage). The curvature of the earth's surface is 33"/km, and thus whenever there is a - sufficiently strong temperature inversion, light rays propagating at low angles will follow the curvature of the - earth beyond the normal horizon. This is the mechanism responsible for the formation of prominent superior - mirages.
-Meteorological Conditions Conducive to the Formation of Mirages
--- Figure 2 - Distribution de l'ensoleillement normal de l'Et (% du total possible) - - The strength and frequency of vertical temperature gradients in the earth's atmosphere are - constantly monitored by meteorologists. The largest temperature changes with height are found in the first 1000 - m above the earth's surface. In this layer, maximum temperature gradients usually arise from the combined - effects of differential air motion and radiative heating or cooling.
-- The temperature increase through a low-level inversion layer can vary from a few degrees to as much as 30C - during nighttime cooling of the ground layer. During daytime heating, the temperature can drop by as much as - 20C in the first couple of meters above the ground (Handbook of Geophysics and Space Environments, - 1965). Large temperature lapses are generally restricted to narrow layers above those ground surfaces that - rapidly absorb but poorly conduct solar radiation. Temperature inversions that are due to radiative cooling - are not as selective as to the nature of the lower boundary and are therefore more common and more extensive - than large lapses. Temperature inversions can extend over horizontal distances of more than 100 km. Large - temperature lapses, however, do not usually extend uninterrupted over distances more than a couple of - kilometers.
--- Figure 3 - Distribution de frquence d'inversion pour Hiver et Et (% des heures totales) - - At any given location, the frequency of occurrence of large temperature lapses is directly - related to the frequency of occurrence of warm sunny days. Fig.2 shows the average distribution of - normal summer sunshine across the United States (Visher, 1954). More than seventy percent of the possible - total is recorded in a large area extending from the Mississippi to the West Coast. Consequently, low-level - mirages associated with large temperature lapses Mai be rather normal phenomena in this area. Distribution - for summer and winter of the frequency of occurrence of temperature inversions < 150 m above - ground level are shown for the United States in Fig. 3 (Hosler, 1961). The data are based on a two-year - sampling period. Figure 4 shows the distribution across the United States of the percentage of time that the - visibility exceeds 10 km (Eldridge, 1966). When Figs. 3 and 4 are combined it is seen that large areas - between roughly the Mississippi and the West Coast have a high frequency of extended horizontal visibility - and a relatively high frequency of low-level temperature inversions. These meteorological conditions are - favorable for the formation of mirages. On the basis of the climatic data shown in Figs. 2, 3, and 4 it can - be concluded that at some places a low-level mirage Mai be a rather normal phenomenon while in other places - it Mai be highly abnormal. An example of the sometimes daily recurrence of superior mirage over the northern - part of the Gulf of California is discussed by Ronald Ives (1968). -
-- Figure 4 - Distribution du % de temps o la visibilit est infrieure 10 km pour l'Hiver et - l'Et - - Temperature inversions in the cloud-free atmosphere are often recorded at heights up to - 6,000 m above the ground. These elevated inversions usually arise from descending air motions, although - radiative processes can be involved when very thin cirrus clouds or haze layers are present. Narrow - layers of high-level temperature inversion, e.g., 4C measured in a vertical distance of a few meters, - extending without appreciable changes in height for several tens of kilometers in the horizontal - direction have been encountered (Lane, 1965). Such inversions are conducive to mirage formation when - they are accompanied by extended visibility in the horizontal as well as in the vertical. A climatology - of such inversions can be obtained from existing meteorological data.
-- - - +-
-- -Home > Rapport Condon > Sommaire > Le contexte - scientifique > Mirage optique -+ ++or
++ ++ ++ +++ Thus, the spatial variation in the refractive index, i.e., light refraction, depends primarily on the vertical + temperature gradient. When + + ðn/ðz + + is negative and the direction of energy propagation is from dense to rare, the curvature of light rays in the earth's + atmosphere is in the same sense as that of the earth's surface. Equation (4) shows that + + ðn/ðz + + is negative for all vertical gradients of temperature except those for which the temperature decreases with height > + 3.4°C/l00 m. No light refraction takes place when + + ðn/ðz + + = 0; in this case + + ðn/ðz + + = -3.4°C/100 m. which is the autoconvective lapse rate, i.e., the vertical temperature gradient in an atmosphere of + constant density. Table 2 gives the curvature of a light ray in seconds of arc per kilometer for various values of + + ðn/ðz + + near the surface of the earth (standard P and T). When ray curvature is positive, it is in the same + sense as an earth's curvature.
++ + ++ + ++
++ Tableau 2 - Courbure des rayons lumineux pour diverses valeurs de VERTICAL TEMPERATURE GRADIENT à des conditions + de pression (1013.3 mb) et de température (273°K) standards + + + ++ + ++ +
(°C/100m) +Courbure des rayons lumineux ("/km) ++ + +-3,4 +0 ++ + +-1,0 +5,3 ++ + +-0,5 +6,4 ++ + +0 +7,5 ++ + ++6,9 +22,7 ++ + ++11,6 +33,0 ++ From Table 2 it is evident that two types of vertical temperature variation contribute most to the formation of + mirages; these are temperature inversions + + [( ðT/ðZ )>0] + + and temperature lapse rates exceeding 3.4°C/100m (the autoconvective lapse rate). Superautoconvective lapse rates + cause light rays to have negative curvature (concave upward), and are responsible for the formation of inferior + mirages (e.g., road mirage). The curvature of the earth's surface is 33"/km, and thus whenever there is a sufficiently + strong temperature inversion, light rays propagating at low angles will follow the curvature of the earth beyond the + normal horizon. This is the mechanism responsible for the formation of prominent superior mirages.
+Meteorological Conditions Conducive to the Formation of Mirages
+ +The strength and frequency of vertical temperature gradients in the earth's atmosphere are constantly monitored by + meteorologists. The largest temperature changes with height are found in the first 1000 m above the earth's surface. + In this layer, maximum temperature gradients usually arise from the combined effects of differential air motion and + radiative heating or cooling.
++ The temperature increase through a low-level inversion layer can vary from a few degrees to as much as 30°C during + nighttime cooling of the ground layer. During daytime heating, the temperature can drop by as much as 20°C in the + first couple of meters above the ground (Handbook of Geophysics and Space Environments, 1965). Large + temperature lapses are generally restricted to narrow layers above those ground surfaces that rapidly absorb but + poorly conduct solar radiation. Temperature inversions that are due to radiative cooling are not as selective as to + the nature of the lower boundary and are therefore more common and more extensive than large lapses. Temperature + inversions can extend over horizontal distances of more than 100 km. Large temperature lapses, however, do not usually + extend uninterrupted over distances more than a couple of kilometers.
+ +At any given location, the frequency of occurrence of large temperature lapses is directly related to the frequency + of occurrence of warm sunny days. Fig.2 shows the average distribution of normal summer sunshine across the + United States (Visher, 1954). More than seventy percent of the possible total is recorded in a large area extending + from the Mississippi to the West Coast. Consequently, low-level mirages associated with large temperature lapses Mai + be rather normal phenomena in this area. Distribution for summer and winter of the frequency of occurrence of + temperature inversions < 150 m above ground level are shown for the United States in Fig. 3 (Hosler, 1961). + The data are based on a two-year sampling period. Figure 4 shows the distribution across the United States of the + percentage of time that the visibility exceeds 10 km (Eldridge, 1966). When Figs. 3 and 4 are combined it is seen that + large areas between roughly the Mississippi and the West Coast have a high frequency of extended horizontal visibility + and a relatively high frequency of low-level temperature inversions. These meteorological conditions are favorable for + the formation of mirages. On the basis of the climatic data shown in Figs. 2, 3, and 4 it can be concluded that at + some places a low-level mirage Mai be a rather normal phenomenon while in other places it Mai be highly abnormal. An + example of the sometimes daily recurrence of superior mirage over the northern part of the Gulf of California is + discussed by Ronald Ives (1968). + +
Temperature inversions in the cloud-free atmosphere are often recorded at heights up to 6,000 m above the ground. + These elevated inversions usually arise from descending air motions, although radiative processes can be involved when + very thin cirrus clouds or haze layers are present. Narrow layers of high-level temperature inversion, e.g., 4°C + measured in a vertical distance of a few meters, extending without appreciable changes in height for several tens of + kilometers in the horizontal direction have been encountered (Lane, 1965). Such inversions are conducive to mirage + formation when they are accompanied by extended visibility in the horizontal as well as in the vertical. A climatology + of such inversions can be obtained from existing meteorological data.
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